II. Communication et actions de l’ADMD
Pour obtenir cette loi de liberté, les actions à entreprendre reposent sur une communication ouverte vers le plus grand nombre de citoyens, sur un véritable dialogue avec les adhérents et les acteurs du corps médical.
La communication doit s’adresser à l’ensemble des acteurs concernés
Aux citoyens
A l’ensemble du personnel soignant, pour promouvoir un dialogue respectueux, dépourvu d’hostilité ou de crainte, entre soignants et patients.
A nos représentants politiques ;
Aux journalistes, relais de la parole publique ;
Aux acteurs de la vie culturelle ;
Au monde judiciaire à travers ses syndicats et ses institutions de formation pour qu’il entende la voix de nos adhérents et des citoyens qui affrontent des fins de vie dramatiques.
La communication s’appuiera sur les moyens
suivants
Un argumentaire élaboré pour présenter notre combat dans une variété de supports adaptés aux circonstances : médias, tracts, affiches, pancartes etc...
Cet argumentaire sera enrichi par les résultats des réflexions et dialogues conduits avec des représentants de différentes disciplines concernées par la fin de vie (médecine, biologie, droit, philosophie, sciences humaines au sens large) et par l’expérience de nos adhérents. Il évitera d’être manichéen et s’efforcera de s’appuyer sur la raison plutôt que sur l’émotion.
Il s’agit d’asseoir la crédibilité de l’ADMD et d’en faire un acteur incontournable dans les débats sur la fin de vie au plan national et international.
Le développement de relations plus étroites avec le monde médical, notamment dans le domaine des soins palliatifs (SP). En particulier par :
la présence de représentants dans les divers comités d’éthique.
Le maintien et développement de relations régulières et coopératives avec les associations proches en objectifs et valeurs, en France et à l’étranger.